PANASONIC met la reconnaissance d’images à toutes les sauces
Et si la reconnaissance d’images était à même de transformer n’importe qui en véritable cordon bleu ? C’est le pari audacieux qu’a fait PANASONIC en présentant d’étonnants appareils électroménagers connectés lors du dernier salon de l’électronique grand public de Las Vegas.
Dans la cuisine du futur telle que PANASONIC l’imagine, les caméras, fiables et discrètes, ont colonisé tous les écosystèmes, y compris les plus extrêmes : même les fours ont la leur !
La peau du poulet est-elle grillée à souhait, ou faut-il forcer sur le thermostat ? Plutôt que de risquer de se brûler en vérifiant par soi-même en ouvrant le four, ce qui au passage fait dramatiquement chuter la température si chèrement acquise lors du préchauffage, la caméra intégrée veille pour vous et permet d’ajuster, via un logiciel de reconnaissance d’image, les paramètres de la cuisson.
Mais au fait, qui a eu la délicieuse idée de cuisiner ce poulet tout en suggérant de l’accompagner de poivrons ? Le frigo, lui aussi équipé de caméras sachant interpréter la date limite de consommation des produits stockés, et déterminer l’état de maturité du contenu du bac à légumes.
Après un tel festin, il va de soi que le lave-vaisselle ne va pas chômer. Mais à quoi servirait-il de lui faire accomplir un cycle de lavage complet si la vaisselle est peu sale ? Là encore, la reconnaissance d’images détermine la quantité de couverts, leur niveau de saleté et permet la sélection automatique du programme le plus approprié tout en adaptant au plus juste les quantités d’eau et de détergent nécessaires.
Ainsi grâce à la reconnaissance d’images, tout un chacun peut, en plus de devenir un cordon bleu, être un gestionnaire avisé en limitant le gâchis alimentaire et un citoyen éco-responsable réduisant sa consommation de produits ayant un impact sur l’environnement. En un mot, un vrai chef.
Pour Frédéric Jahard, Directeur Général de LTU technologies, ces innovations signalent la prochaine explosion du marché grand public de la reconnaissance d’images. « Autrefois quand on voulait savoir l’heure, il fallait écouter les cloches du village. Puis chacun a eu sa montre-bracelet. Aujourd’hui, l’heure exacte est disponible partout, sur les digicodes comme sur les fours en passant par les téléphones. On peut s'attendre à ce que sous peu, la technologie de la reconnaissance d’images sera aussi intégrée à notre quotidien que l’est l’heure aujourd’hui, et j’y vois une formidable opportunité. »
Pour en savoir plus :
LTU technologies participe au laboratoire ouvert de l’innovation média
Lancé en décembre 2014 par l’association d’entreprises innovantes NUMA et l’Agence France Presse (AFP), le laboratoire ouvert de l’innovation média a pour objectifs principaux d’augmenter le potentiel d’usage des bases de données média et de développer des outils et services afin de répondre aux nouvelles manières de produire et consommer l’information.
Chaque jour, la base de données de l’AFP s’enrichit de quelque 5000 dépêches, 3000 photographies, 200 vidéos et 70 infographies/vidéographies. Des documents qui viennent grossir un stock déjà fort de plus de 20 millions de données texte et plus de 15 millions de photos, l’ensemble constituant une base de ressources unique en France. Comment organiser au mieux ces données afin de les valoriser et rendre l’information qu’elles contiennent plus facilement réutilisable ? C’est tout l’enjeu des discussions menées au sein des trois ateliers du laboratoire, lesquels s’articulent autour de l’exploitation des bases de données média, les nouveaux usages des données et les nouveaux services à destination des rédactions.
Pionnière de la reconnaissance d’images et leader de la recherche visuelle, LTU technologies prend tout naturellement part aux activités de ce laboratoire qui se dérouleront jusqu’à fin avril 2015.
Comme le souligne Anne-Sophie Taillandier, Directrice Technique de LTU technologies, « l’objectif ultime en matière de reconnaissance d’images serait d'interpréter automatiquement une photo par l’image elle-même, de décrire ce qu’elle contient comme objets ou personnalités, et ainsi sortir des ambiguïtés liées au texte. Par ailleurs, saisir des métadonnées manuellement est un processus long et coûteux. La technologie de reconnaissance d’images pourrait à terme permettre de mieux exploiter l’image en en extrayant toutes les informations, y compris celles qu’un opérateur humain n’aurait pas pensé à relever, comme les dominantes de couleur ou les personnalités de second plan. Non seulement l’image parle d’elle-même mais en dit souvent plus qu’un être humain ne peut saisir immédiatement, et la reconnaissance d’images pourrait y remédier. »
Crédit : Katy SannierAnne Sophie Taillandier illustre encore son propos sur la force de l’image en tant que mode de recherche natif par un exemple particulièrement éloquent tiré de l’actualité récente : « Après l’attentat contre Charlie Hebdo, l’image de stylos brandis par les manifestants place de la République a fait le tour du monde et est devenue un symbole très fort de la lutte pour la liberté d’expression et le droit à la caricature, repris lors de toutes les manifestations sur le même thème qui ont suivi. Mais du même coup, et c’est une part non négligeable du défi technologique qui est derrière l’interprétation par la reconnaissance d’images, toute image de stylo brandi, qu’elle ait été prise avant ou après la tragédie de Charlie Hebdo, s’est enrichie d’un possible nouveau sens qu’il faut croiser avec d’autres données afin de lever toute ambiguïté. »
Un chantier technologique aussi passionnant que crucial auquel LTU technologies est bien décidé, avec ses clients et partenaires, à prendre toute sa part.
Pour aller plus loin :
Digitalisation des points de vente: quand les clients font le job
Alors que bien des distributeurs s’interrogent encore sur la nécessité de digitaliser leurs points de vente, dégainer son smartphone en boutique est devenu un geste naturel pour la moitié de leurs clients. En 2014 en effet, 50 % des consommateurs ont consulté leur mobile en magasin, contre 23 % seulement en 2012*, signe d’une tendance de fond appelée à se généraliser. 25 % l’ont utilisé pour photographier le produit et l’envoyer à des amis, 23 % l’ont fait pour obtenir plus d’informations et… 20 % y ont eu recours pour trouver un meilleur prix sur le Web ! Pourtant, en adoptant une démarche proactive d’accompagnement digital des produits physiques qu’ils distribuent, les réseaux de boutique pourraient à peu de frais transformer les smartphones de leurs clients en précieux alliés.
“En 2014 en effet, 50 % des consommateurs ont consulté leur mobile en magasin”
Ainsi parmi les nombreuses startups surfant sur cette irrésistible lame de fond, Winebuzz Developpement propose Tagawine, une application permettant aux utilisateurs d’obtenir une information enrichie sur une bouteille de vin à partir d’une simple photographie de son étiquette : caractéristiques de la cuvée, prix moyen, maturité, avis des autres utilisateurs, Tagawine associe l’expertise d’un sommelier virtuel à la convivialité d’un réseau social.
Là où Tagawine devient le meilleur ami du point de vente, c’est lorsque pour chaque vin sélectionné, son système de géolocalisation propose les points de vente les plus proches… ou les plus sympas ! Chaque Tagawinaute peut en effet partager avec le reste des utilisateurs les coordonnées de son caviste préféré, assorties des commentaires (pertinence des conseils, services complémentaires, amabilité) qui feront toute la différence au moment de concrétiser l’acte d’achat.
Un packaging au contenu enrichi et infini
Sur le même principe, des applications autour de la reconnaissance d’images pourraient être proposées par les distributeurs en partenariat avec les fabricants, afin d’offrir aux consommateurs un contenu enrichi par rapport aux produits physiques qu’ils s’apprêtent à acheter. En une photo, une appli pourrait identifier si un produit alimentaire est consommable par un intolérant au gluten ou au lactose, ou bien adapté à un régime alimentaire donné. A partir d’une photo d’un produit, le client potentiel pourrait visualiser une vidéo de l’artisan racontant sa fabrication ou une recette associée, ou se voir proposer une offre promotionnelle. Un packaging connecté pourrait également renseigner sur les conseils d’utilisation, présenter un tutoriel, des avis de consommateurs, etc.
L’appli de réalité augmentée de BlippAR permet déjà aux mobinautes de transformer l’étiquette de la bouteille de Ketchup Heinz en carnet de recettes spécial ketchup.
Des possibilités infinies pour enrichir un support publicitaire ou un packaging et offrir une expérience unique et différenciante.
* étude Ifop/WincorNixdorf du 17 au 22 avril 2014
Pour aller plus loin :
Hashtags passifs, faire parler les images
Comment catégoriser, segmenter, analyser les 8 milliards de photographies partagées chaque jour sur Facebook, Instagram, Flickr, Snapchat et Whats-App ?
Le 25 août dernier, le journal les Echos titrait : La reconnaissance d'images, nouveau terrain de jeu des géants du Net. C’est un fait, à l’heure de la consécration de visuels sur le web, les monstres de la Toile n’ont pas d’autres choix que de tenter d’apprivoiser l’image. Des réseaux sociaux basés sur l’image à l’instar de Pinterest, Tumblr ou Instagram aux sites e-commerce mettant en avant la photo plutôt que le contenu, la tendance est bel et bien à l’expérience visuelle.
Pourtant, les photos postées sur les réseaux sociaux demeurent une grande nébuleuse pour la plupart des marques et entreprises. Alors que l’analyse sémantique de texte permet aujourd’hui aux marques d’effectuer une veille active sur les réseaux sociaux et d’avoir une idée de leur e-réputation grâce notamment à l’analyse des sentiments, encore peu d’acteurs parviennent à analyser les images.
Plus complexes à appréhender certes, l’image représente pourtant le support privilégié des jeunes dans leur communication, sur les réseaux sociaux (Twitter, Pinterest) comme sur leur smartphone (avec SnapChat et Instagram notamment).
En direct du salon des vins des vignerons indépendants ❤️ achat perso 💜 pic.twitter.com/F1fggIxAF9
— Joly Gourmet (@JolyGourmet)27 Octobre 2014
Ces images, souvent dénuées de descriptifs, de métadonnées ou de hashtag peuvent représenter une marque, son logo ou un de ses produits et pourtant ne jamais être connues par celle-ci. Un beau manque à gagner sur les données relatives aux comportements utilisateurs et sur la réputation online des marques.
Le but à terme ? Faire émerger des “hashtags passifs” pour identifier logo, marques, produits contenus dans les images postées et connaître ses prospects, clients et surtout leur comportement. A quelle heure de la journée les photos de glaces Haggen Dazs sont le plus partagées sur Twitter ? Quand et à qui proposer un bon de réduction de la marque ?
L'analyse des images a de nombreuses données à offrir aux services R&D et marketing, un vivier encore peu exploité et qui promet à la reconnaissance d’image de beaux jours devant elle. Le marché devrait croître de 21,6 % par an sur les cinq prochaines années, pour atteindre 25,65 milliards de dollars en 2019.
Lire l’article des Echos : La reconnaissance d'images, nouveau terrain de jeu des géants du Net
LTU Technologies équipe le moteur de recherche visuel et social du Guide.com : blacklist.me
Plus qu’un moteur de recherche pour trouver un produit adapté à ses goûts, blacklist.me, propulsé par leguide.com, est un véritable moteur d'inspiration permettant de garder un œil sur les tendances mais aussi sur les produits favoris de ses amis et des leaders d'influence. Une expérience de social shopping basée sur du taste-matching qui personnalise l’expérience de l’internaute en proposant les produits susceptibles de le séduire.
Blacklist.me, réseau social d'accro au shopping
Chaque utilisateur, appelé blacklisteur, pourra créer des listes par types de produits (mode, déco, hi-tech) ou par occasion (anniversaire, mariage…) et les partager autour de lui par email ou via les réseaux sociaux. Chaque utilisateur peut ainsi suivre les listes de ses amis ou celles créés par d’autres blacklisteurs. Chacun peut ainsi nourrir son inspiration et découvrir les tendances phares du moment grâce aux listes.
En s’appuyant sur les actions des utilisateurs (produits ajoutés aux listes et personnes suivies) et sur les comportements de navigation (produits visualisés, et recherches effectuées), Blacklist.me identifiera et proposera des produits ayant de grandes chances de plaire à l’internaute.
Misant ainsi à la fois sur les goûts de l’internaute lui-même et sur les goûts des personnes qu’il a lui-même choisi de suivre, le moteur Blacklist.me met toutes les chances de son côté pour tomber juste dans ses recommandations.
Plus l’internaute passe de temps sur le site, plus il nourrit l’algorithme permettant de personnaliser sa navigation et de connaître ses goûts.
Le poids des mots, le choc des photos
Ce moteur de shopping se concentre sur le visuel en présentant les produits par l’image plutôt que par de longs descriptifs comme s’attachent à le faire de nombreux sites n’ayant pas capté l’importance prépondérante du visuel.
La puissance de la technologie en reconnaissance d’image de LTU Technologies offre à l’internaute la possibilité de découvrir des produits similaires à celui consulté. Ainsi, la recherche de similarité dans la base de plus de 10 millions d’images à travers les catégories Hi-tech, mode, gadgets, loisirs, maison, enfants et beauté permet de présenter les produits s’approchant le plus visuellement d’articles déjà consultés. En plus de la similarité, les produits proposés prennent également d’autres facteurs en compte pour la présentation des résultats.
Une expérience shopping personnalisée
En combinant technologie en reconnaissance d’images et recommandation sociale, Blacklist.me redéfinit les contours de l’expérience shopping et propose un véritable shopper-assistant pour trouver chaussure à son pied. Tour à tour mur d’inspiration, tableau de tendances, moteur de recherche, moteur de recommandation, wishlist et comparateur de prix, blacklist.me intègre toutes les dimensions et étapes du cycle d’achat pour offrir une expérience shopping online inédite.
Image Recogition meets the Art world
Imagine: the Louvre, Wednesday, 11am, everybody’s in a hurry, slipping and crawling through the crowds to reach her. Every smartphone, iPad, and camera is waving in the air trying to get the “perfect” photo of the painting with no strangers in it. Poor results because the Mona Lisa doesn’t accept flash. Will they look at this picture again? Why would they want to? LTU got interested in this problem and wanted to see if an application could be developed that would allow us to create a virtual collection of artworks similar to what was done in FlashInvaders app. Such an application would allow us to recall artworks viewed, dates and location of the visit, and the option to get more information on the artwork. New technologies, especially image recognition, have a lot to offer to the art market and ecosystem.
Image recognition technology is clearly the best way of connecting the art world to the digital world. Collectrium allows art gallery visitors to get details on a work simply by taking pictures of it. Mobile users can then annotate a work or add it to their favorites, share it and contact the artist or his agent for more information. It’s an efficient app for collectors and art lovers.
Using image recognition, several online art retailers offer a unique navigation experience through an art collection by offering search capability by colors and similarity (shapes, shading, textures). Visual search in addition to traditional text search offers an important added value for the art sector.
Art.com, the world’s largest online retailer of high-quality wall art as well as Muzeo.fr use visual search to offer their visitors an easy access to pieces of art matching their living-room decoration or to find pictures similar to the one(s) spotted at a friend’s home.
Image recognition can also support stolen art investigations. Investigators can identify known stolen artifacts online via mobile image recognition or image search on global stolen art registries. OCBC (french police) uses LTU’s technology to manage and search into the database called “TREIMA” which contains images of art objects stolen in France.
Playful and frivolous, the augmented reality app ARART. By overlaying the camera of a mobile device onto a well-known masterpiece, the ARART-system detects images and objects that are registered and will display an animated image on top of said object - bringing paintings to life.
http://www.designboom.com/technology/arart-augmented-reality-app-brings-paintings-to-life/
For its part, Google allows users to select a museum from the 150 collections from 40 countries and discover masterpieces. Google Art Project.
Because everyone is now used to (if not dependent on) the “second screen”, it will undoubtedly now have its role in the world of art and in museums.
Appli Street Art : les Spaces Invaders envahissent vos smartphones
Le street art a décidément le vent en poupe. Alors que JR vient tout juste d’entrer au Panthéon avec son projet “Inside Out” pour masquer les travaux de l’édifice, la plus grande fresque de street art d’Europe a été inaugurée à Paris ce 19 juin dans le 13ème.
Le numérique rend également hommage à ce nouvel art populaire avec le “Street Art Project” de Google, véritable galerie en ligne des plus belles œuvres du genre. (http://www.google.com/culturalinstitute/project/street-art )
De nombreux parisiens et citadins d’autres grandes villes ont découvert cet art de rue grâce aux petits Aliens du célèbre jeu des années 70. Les Space Invaders représentés en mosaïques et présents sur de nombreux murs ont été créés par l’artiste Invader qui, après 6 tours du monde et 1,5 million de carreaux de mosaïques cimentées, revendique près de 3000 mosaïques dans près de 60 villes.
LTU a permis à Invader de donner vie à une application mobile mettant en scène ses créatures. Une véritable chasse au Space Invaders s’engage avec cette appli qui permet de flasher chaque Space Invader croisé dans la rue pour gagner des points. La position GPS du joueur est vérifiée pour valider que ce dernier soit bien sur les lieux de l’œuvre. La technologie de LTU compare alors l’œuvre photographiée à l’ensemble des créations de l’artiste Invader puis identifiée. Le score du joueur est alors crédité du nombre de points attribué à l’œuvre.
Prenez part à l’invasion sur Android ou iPhone
> Découvrez l’ensemble des mosaïques d’Invader et leur emplacement
Lancé fin juillet, l'application rencontre un beau succès auprès d'un public de passionnés et de la communauté connectée avide de nouveaux usages:
- 1 145 Joueurs
- 23 731 Flashes d'invader dans le monde
- 834 170 Points marqués
- 3 004 Invaders à trouver
- Plus de 50 revues 5 stars (appStore / AndroidMarket)
- 7000 download iPhone et Androïd
- Plus de 50 articles en français et en anglais
- 11 articles au Japon où l'artiste est présent
Parmi les articles:
Le Shazam de la mode
Et si, à l’image de l’application d’identification de musique Shazam, on pouvait, à l’aide d’une photo d’un vêtement, trouver une pièce similaire ? La rue serait alors un catalogue réel, animé et inépuisable de pièces de prêt à porter, une expérience shopping mobile où le virtuel servirait le réel et vice-versa.
L'application mobile de Celio détient toutes les fonctionnalités avancées que l'on peut espérer découvrir dans une appli de chaîne de magasins de vêtements. L’appli du leader du prêt à porter masculin propose le suivi des actualités et de sa collection, la possibilité de créer des wishlists pour soi et ses proches, de passer commande directement depuis son smartphone ou encore de conserver ses coupons de réduction… Par ailleurs, adoptant l'approche marketing du Solomo (social local mobile), l'application s'adapte au comportement et la localisation du mobinaute.
Mais l'application Celio voit plus loin en proposant un véritable Shazam de la mode. La rue demeure le plus grand défilé de mode à ciel ouvert et la source d'inspiration majeure pour la plupart des urbains. Malheureusement, peu osent alpaguer en pleine rue un inconnu pour se renseigner sur l'origine d'un vêtement convoité. La discussion serait d'ailleurs souvent vaine puisque, loin des défilés, peu de passants portent uniquement des vêtements de la saison actuelle. Celio a donc la solution avec sa fonctionnalité Scan & Find. Il suffit de prendre en photo le vêtement désiré (certes osé mais toutefois moins engageant qu’une conversation) pour obtenir instantanément les produits similaires ou identiques du catalogue.
Cette fonctionnalité utilisant la reconnaissance d'image et la recherche par similarité promet de belles avancées pour l'expérience d'achat multi-canal.
On pourrait d’ailleurs imaginer le même procédé pour un moteur de recherche proposant de nombreuses marques. Si les sites wornontv.net ou brandsonair.com proposent de retrouver les vêtements portés par les stars de séries américaines, on pourrait bientôt prendre en photo sa télévision ou son écran d’ordinateur pour trouver un vêtement similaire. La presse a tenté l’expérience seulement avec des QR Code, peu adoptés par les mobinautes alors que prendre une photo à l’aide de son smartphone semble désormais naturel pour tous.
Image Recognition Market worth $25.65 Billion by 2019
To learn more, click here: http://bit.ly/1liQHrq
LTU Technologies Partner with NEC Asia Pacific
NEW YORK, NEW YORK–(Oct. 22, 2013) - LTU technologies, a pioneer of image recognition technology, today announced a partnership with NEC Asia Pacific (based in Singapore, APAC regional headquarter of NEC Corporation) to work on a large-scale image recognition project based in Singapore.
LTU will be supplying its high performance image matching and image similarity engine as a key part of the final software application solution. The project will involve several hundreds of thousands of images and the use of both Matching and Similarity algorithms.
Mr. Shaun Kwok, Project Director, NEC Asia Pacific, said, “After evaluating several vendors, LTU’s solution was assessed as best-matched to the end-customer’s requirement. LTU technologies’ algorithm was efficient, accurate and scalable. The overall industrial strength of LTU’s software and the high level of service and technical support we have received were impressive.”
Stephen Shepherd, LTU’s Vice President and General Manager for the Americas and Asia, said, “LTU is delighted to partner with a high performance company like NEC Asia Pacific and will continue to strengthen its image recognition and visual search solutions to provide the best for its customers.”
Legallais annonce le lancement du 1er catalogue augmenté destiné aux artisans en partenariat avec LTU technologies.
Dans le cadre de la conférence - Faire de l’achat une expérience unique - qui se déroulera au salon Ecommerce à Paris, ce jeudi 26 septembre de 15h à 16h, la société Legallais présentera en avant-première le 1er catalogue augmenté destiné aux professionnels du bâtiment.
Peu dans leurs bureaux et beaucoup sur les chantiers, les artisans sont l’exemple parfait de la mobilité. Avec cette nouvelle application, Legallais entend offrir à ses clients une expérience d’achat en totale adéquation avec leurs rythmes professionnels.
Avec l’application Legallais mobile et plus particulièrement la fonctionnalité Legallais Scan qu’elle intègre, propulsée par LTU technologies, les artisans pourront en quelques secondes obtenir la disponibilité des produits, les prix, les documentations techniques et passer commande directement sur leurs chantiers simplement en scannant les pages du catalogue Legallais !
« Depuis plus de 10 ans nous travaillons et innovons en terme d’e-commerce. Pour autant notre catalogue papier reste attendu et très utilisé par nos clients artisans. Il nous a donc semblé logique de rapprocher les nouvelles technologies vers cet outil. Nous avons sélectionné LTU pour permettre à nos clients de rendre le catalogue legallais hyperconnecté afin qu’ils puissent, parmi plus de 42.000 références stockées, retrouver instantanément le stock de nos produits, les documentations techniques ou encore la personnalisation tarifaire. Avec notre application mobile nous proposons aujourd’hui le premier catalogue augmenté de la profession » déclare Anthony Le Courtes, Responsable e-Business chez Legallais.
New Infographic: Social Media Monitoring, don’t miss the next step!
If you want know more about Visual Brand Intelligence, download our whitepaper “Brand Intelligence in the age of Imagery”.
The Biggest Hole In Your Content Marketing Strategy: Images
by Stephen Shepherd, General Manager of LTU Technologies Inc.
Gone are the days when it was enough for a brand to just have a Facebook page and a Twitter feed. Now, brands have amassed thousands – if not millions – of followers on these and other social platforms, and these followers won’t come back unless brands provide great content. Social media marketing has morphed into “content marketing.”
AgileZen Beta User Interview: LTU Technologies
On a interview given to AgileZen, Bertrand Vidal, Software Engineer at LTU Technologies, explains How does LTU use AgileZen, and why?
To read the full story click here.
5 tips for creating a branded social image strategy.
When Facebook recently announced that its newest update would put a greater emphasWhen Facebook recently announced that its newest update would put a greater emphasis on images, the migration from a text-based to a visual social web gathered steam. Already, Pinterest, Instagram, Tumblr, and other image-driven social sites have attracted millions of users engaged in posting, pinning, and browsing colorful and catchy images.
By Stephen Shepherd - General Manager, LTU Technologies Inc.
Article published on iMedia Connection.
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